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    2. Portrait de l'artiste en jeune homme
    3. Chapitre 85
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    Stephen’s Green.

    325. Voir ch. 4, n. 28.

    326. La Colline de Tara (en irlandais Teamhair na Riogh, l’Acropole royale), dans le comté de Meath, fut dans les temps anciens la capitale politique et culturelle de l’Irlande. Tous les trois ans s’y tenait une grande assemblée (feis) nationale au cours de laquelle des lois étaient édictées, des différends tribaux réglés, etc. Tara perdit de l’importance avec la christianisation de l’Irlande, mais son prestige se maintint jusqu’à l’époque des derniers rois païens au VIe siècle. Ce fut également la résidence royale de Malachie II (mort en 1022). C’est à Tara que se trouve la pierre du couronnement des anciens rois.

    327. Petite ville du Pays de Galles qui est le port de débarquement le plus proche de toutes les lignes faisant le service de l’Irlande.

    328. How he broke Pennyfeather’s heart. Dans sa lettre à Damaso Alonso du 31 octobre 1925, James Joyce explique que c’est à l’occasion d’une course d’aviron. « Bien sûr, ajoute-t-il, l’expression évoque une déception amoureuse, mais les hommes l’utilisent sans explication, avec quelque coquetterie, semble-t-il. »

    329. Allusion au poème de W. B. Yeats, « He remembers Forgotten Beauty » in The Wind Among the Reeds, 1899, qui commence ainsi :

    Lorsque mes bras vous enveloppent, je presse

    Mon cœur sur la beauté

    Depuis longtemps évanouie du monde…

    Michael Robartes est le héros du récit en prose « Rosa Alchemica » ; il est évoqué brièvement dans Stephen le Héros, Pléiade, p. 482 et n. 3.

    330. Épiphanie no XXVII, reprise à peu près littéralement.

    331. Le mot se rencontre effectivement dans Shakespeare : Mesure pour mesure, III, II, 182, filling a bottle with a tundish. Noter que Shakespeare décrit ici une opération à peu près impossible, le tundish étant un gros entonnoir pour les tonneaux.

    332. L’anecdote se trouve sous une forme plus complète, et d’ailleurs différente, dans Stephen le Héros, Pléiade, p. 329.

    333. Away ! Away ! C’est ainsi que James Joyce traduit le premier vers de la dernière strophe des « sanglots longs » de Verlaine : « Et je m’en vais… », Pléiade, p. 1316.

    334. Épiphanie no XXX, reprise à peu près textuellement (seul people, « peuple », a été remplacé par kinsman, « de ton sang »). Elle avait déjà été utilisé dans Stephen le Héros (Pléiade, p. 323). Voici ce que dit James Joyce à ce sujet dans sa lettre à Stanislaus du 7 février 1905 : « L’effet du fragment “ Sortilège des bras ” est de marquer le point précis qui sépare l’enfance (pueritia) et l’adolescence (adulescentia) – dix-sept ans. »

    335. Voir la lettre à Nora Barnacle du 22 août 1912.

    336. Nous avons déjà rencontré Siegfried ci-dessus p. 341. Rappelons qu’il avait pour tâche de forger à nouveau ensemble les morceaux brisés du glaive de son père Siegmund. Voir Musique de chambre, poème no XXXVI, v. 8., Pléiade, p. 33. Voir aussi Huysmans, À rebours, Folio, p. 118, à propos de Claudien : « … un poète forgeant un hexamètre éclatant et sonore, frappant, dans des gerbes d’étincelles, l’épithète d’un coup sec. » Voir Stephen le Héros, Pléiade, p. 345, et les Notes préparatoires aux Exilés, Pléiade, p. 1777.

    337. … stand me now and ever in good stead. Voir n. 124.

    James Joyce

    Portrait de l’artiste

    en jeune homme

    Traduction de Ludmila Savitzky révisée par Jacques Aubert

    C’est le premier succès achevé de Joyce, terminé vers 1914. Roman autobiographique, l’auteur y raconte son enfance et sa jeunesse à Dublin, son éducation chez les jésuites, ses révoltes contre ces mondes clos, sa libération par la vocation artistique (d’où le titre). Le style va du réalisme brutal à la plus grande poésie, de l’ironie à l’émotion. Joyce y donne avec clarté – ce sont les deux ouvrages ultérieurs, Ulysse et Finnegans Wake, qui passent pour obscurs – sa vision du réel et de l’imaginaire.

    Ce roman de formation, document capital sur Joyce, est aussi un grand livre.

    Cette édition du Portrait de l’artiste en jeune homme remplace l’ancienne édition de Dedalus.

    Préface de Jacques Aubert

    PORTRAIT DE L’ARTISTE (1904)

    PORTRAIT DE L’ARTISTE EN JEUNE HOMME Chapitre premier

    Chapitre II

    Chapitre III

    Chapitre IV

    Chapitre V

    DOSSIER Biographie

    Notice

    Bibliographie

    Notes

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    Tags:
    Classique, Fiction, Littérature, Roman
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