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    2. Portrait de l'artiste en jeune homme
    3. Chapitre 72
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    désignés pour tel ou tel match, qui fêtaient cette distinction à la buvette proche.

    85. Cette liste est reprise du « Carnet de Trieste » à la rubrique « Pappie ».

    86. L’expression sera reprise p. 236 et n. 19.

    87. Queenstown : aujourd’hui Cobh ; c’est l’avant-port de Cork.

    88. Tout cela reflète parfaitement les informations que Stanislaus Joyce donne sur son grand-père et sur son père, dans Le Gardien de mon père, éd. cit., p. 42-46 notamment.

    89. Slim jim : sorte de guimauve recouverte de sucre rose et de noix de coco râpée, vendue en bâtons de trente ou quarante centimètres. James Joyce note que cette friandise peut être mangée par deux personnes en même temps : lettre à Damaso Alonso du 31 octobre 1925 (Lettres, éd. cit., t. III, p. 352).

    90. Probablement Richard Valpy, Dilectus Sententiarum et Historiarum ad usum tironum accommodatus, In Aedibus Valpianis, Londres, 1800. Cet ouvrage eut de nombreuses rééditions au cours du XIXe siècle.

    91. John Stanislaus Joyce utilise le début de cette citation dans une lettre à James du 5 mai 1914 (Lettres, éd. cit., t. II, p. 534). James Atherton a découvert que c’était également le titre d’un poème de Robert Greene, 1560 ?-1592, qui conseille au lecteur d’éviter l’envie et l’ambition, et dont le second vers est : « Le fier Icare tomba, tout haut qu’il fût monté. »

    92. Ce trait semble correspondre parfaitement à M. Joyce père : voir Stanislaus Joyce, Le Gardien de mon frère, éd. cit., chap. I et en particulier les p. 58-59.

    93. Yerra, parfois écrit arrah. Interjection courante, de l’irlandais aire, qui signifie à peu près « Attention ! ».

    94. Sunday’s Well : quartier bourgeois de Cork.

    95. Johnny Trésorier : traduction littérale de Johnny Cashman, probablement suggérée par Joyce.

    96. Voir Stephen le Héros, Pléiade, p. 394, n. 1.

    97. À la lune, poème inachevé de 1824, dont le texte est le suivant :

    I

    Es-tu pâle de lassitude

    Pour avoir escaladé le ciel et contemplé la terre,

    Voyageuse sans compagnon

    Parmi les étoiles nées d’une autre naissance,

    Sans cesse changeante, pareille à l’œil sans joie

    Qui ne trouve point d’objet digne de sa constance

    II

    Ô toi, Sœur élue de l’Esprit,

    Qui te regarde et finit par avoir pitié de toi

    Ce poème est cité et longuement commenté dans l’essai de William Butler Yeats « The Philosophy of Shelley’s Poetry », 1900, réédité ultérieurement dans Ideas of Good and Evil ; voir ch. 5, n. 236. La bibliothèque de James Joyce à Trieste contenait deux recueils de Shelley : The Poetical Works, Londres, Milner & Sowerby, estampillé « J. J. », et The Complete Poetical Works, Oxford University Press, 1912, acheté à Trieste.

    98. Foster Place : sorte d’impasse située au flanc de la Banque d’Irlande dans le centre de Dublin. Elle doit son nom à John Foster, 1740-1828, chancelier de l’Échiquier du gouvernement irlandais de l’époque, dont la loi protectionniste sur les blés, de 1784, qui resta en vigueur jusqu’en 1846, fit de l’Irlande, pour la première fois de son histoire, un pays d’agriculture prospère.

    99. Stanislaus Joyce, Le Gardien de mon frère, éd. cit., p. 78 : « Les vingt livres que [mon frère] obtint tout jeune comme bourse dans les classes préparatoires lui furent intégralement remises par son père pour qu’il en fît ce qu’il voulût. »

    100. Cela est parfaitement exact. Le Parlement en question fut supprimé par l’Act of Union de 1800 qui rattacha l’Irlande au Royaume-Uni.

    101. Députés qui illustrèrent le Parlement irlandais de la fin du XVIIIe siècle, parfois appelé « Parlement de Grattan ». Hely Hutchinson était un spécialiste du libre-échange. Henry Flood, 1732-1791, premier chef de l’opposition parlementaire, le « Parti Patriote », et défenseur de la « Nation Protestante » : les réformes, pour lui, s’arrêtaient au seuil de la question religieuse. Il disparut de la scène politique dès 1785. Henry Grattan, 1746-1820, succéda à Flood dans son rôle de chef politique de la « Nation Protestante ». Plus soucieux de moraliser la vie politique irlandaise que d’obtenir des réformes électorales précises, il était également plus loyaliste et impérialiste que Flood. Charles Kendal Bushe, 1767-1843, Lord Chief Justice et membre du Parlement, dont Grattan disait qu’il parlait « avec les lèvres d’un ange ».

    102. Voir Dublinois, Pléiade, p. 218 : « […] un petit aristocrate de ma connaissance […] » et note.

    103. Barnardo & Sons, 108 Grafton Street.

    104. Underdone : nom facétieux (il signifie « mal cuit ») que Joyce donne à un restaurant réputé de Dublin, l’hôtel et restaurant Burlington, également connu sous le nom de son propriétaire, Thomas Corless (voir Dublinois, Pléiade, p. 167). Joyce semble y avoir invité ses parents en 1894 (voir la lettre de Nathan Halper, James Joyce Quarterly, vol. XIII, no 2, p. 256).

    105. Ingomar : mélodrame de Friedrich Hahn, traduction anglaise de Mrs G. W. Lovell, 1851.

    106. The Lady of Lyons, or Love and Pride, drame romantique (1838) de Bulwer Lytton, 1803-1873. Son héros, Claude Melnotte, apparaît un peu plus loin, n. 112. On trouvera une étude comparée des personnages centraux de cette œuvre et de ceux du Portrait de l’artiste en jeune homme dans l’ouvrage de Marvin Magalaner et Richard Kain, Joyce, the Man, the Work, the Réputation, New York, New York University Press, 1956, p. 115-119. Dans The Books at the Wake, éd. cit., p. 109-110, James Atherton montre comment Joyce reprend ce double réseau d’allusions dans Finnegans Wake, éd. cit., p. 228-230. Bulwer Lytton est évoqué par le pervers de « Une rencontre » dans Dublinois, Pléiade, p. 124, n. 2. Voir également la lettre de James Joyce à son frère Stanislaus en date du 18 [septembre] 1905.

    107. Stanislaus Joyce, Le Gardien de mon frère, éd. cit., p. 78-79, confirme ce développement : « Il n’avait pas la moindre idée de ce qu’il pouvait faire avec cet argent, car vingt livres, équivalant au moins au double de la somme aujourd’hui, étaient beaucoup trop d’argent de poche pour qu’un garçon de cet âge sût en disposer. Il acheta des cadeaux pour tout le monde, des cadeaux pratiques : une paire de souliers pour l’un, une robe pour l’autre. Il y eut de fréquentes sorties, auxquelles j’étais parfois invité, aux places les moins chères des théâtres, pour voir Edward Terry dans ses rôles comiques, ou Irving ou Tree, si l’on pouvait obtenir des billets, ou des célébrités moins grandes, Edmund Tearle jouant Othello, ou Olag Nethersole. Tout intelligent qu’il était, mon frère n’était encore qu’un enfant, et il aimait jouer avec l’argent. Il ouvrit une banque pour la famille pour avoir le plaisir de jouer à donner des reçus et à faire des comptes. Il me forçait d’accepter des prêts d’environ six pence, mais mes parents étaient ses clients les plus assidus et les plus importants, et l’argent fondit vite en bagatelles diverses. »

    108. Commonwealth, littéralement « richesse commune ».

    109. Fosterchild, fosterbrother. L’adoption, fosterage, vieille coutume gaélique, bénéficia d’un regain d’intérêt dans la dernière décennie du siècle, au même titre que d’autres traditions populaires. Voir aussi n. 98.

    110. Kindly lights, expression qui sonne comme une reprise de l’hymne de J. H. Newman signalé p. 137.

    111. Ci-dessus, n. 7.

    112. Claude Melnotte : héros de The Lady of Lyons (n. 7, p. 97) : fils de jardinier, il s’est instruit, cultivant les arts, et l’aubergiste du village le qualifie de « génie », c’est-à-dire « un homme qui peut tout faire dans la vie sauf quelque chose d’utile » ; il est surnommé « le Prince ». Amoureux éconduit de Pauline, fille de parvenu, il accepte à la demande de deux autres soupirants malheureux de celle-ci, désireux de se venger, de jouer, avec leur argent, le rôle d’un prince fastueux. Pauline l’agrée comme fiancé, jusqu’au moment où l’imposture est révélée. Claude disparaît mais, au moment où Pauline, qui au fond l’aimait, est sur le point d’épouser son premier amoureux, il revient et l’emporte.

    113. Cet épisode se déroule dans le quartier de Mabbot Street, Mecklenburg Street, etc., aujourd’hui en grande partie reconstruit, devant Amiens Street Station. Ce quartier réservé de Dublin, appelé aussi Nighttown, est le théâtre de l’épisode d’Ulysse, « Circé » (éd. cit., p. 422-537).

    114. Ces dernières phrases contiennent des échos du « Portrait de l’artiste » (1904) : voir p. 37-38.

    CHAPITRE III

    1. Sullivan (Joyce Among the Jesuits, New York, Columbia University Press, p. 125-126) fait observer que l’on doit être en décembre 1898, année où le 3 décembre, fête de saint François-Xavier, tombe un samedi (voir p. 172-173).

    2. Distant music, c’est-à-dire exactement le titre donné par Gabriel Conroy au tableau imaginaire dans lequel, sans le savoir, il inscrit sa femme : voir Dublinois, « Les Morts », Pléiade, p. 297.

    3. Voir p. 156.

    4. « La grâce sanctifiante ou habituelle est un don qui est infus dans l’âme et y demeure inhérent, à la manière d’une qualité permanente » (Dictionnaire de théologie catholique).

    5. « La grâce actuelle est un secours transitoire par lequel l’homme est mû par Dieu à une opération salutaire » (ibid.).

    6. Confrérie de la Sainte Vierge : James Joyce fut admis dans cette confrérie le 7 décembre 1895. Le 25 septembre 1896 il en était nommé préfet, tandis que son ami et rival Albrecht Connolly (« Héron ») devenait préfet en second. Il fut réélu préfet (fait inhabituel) le 17 décembre 1897. Il quitta Belvedere en juin 1898.

    7. Le petit office de Notre-Dame.

    8. Dans la Vulgate, les psaumes prophétiques sont les psaumes VIII, XVIII, XXIII, XLIV, XLV, LXXXVI, XCV, XCVI et XCVII.

    9. The Glories of Mary : cette expression évoque deux sermons de J. H. Newman : « The Glories of Mary for the Sake of Her Son » et « On the fitness of the Glories of Mary » (Discourses addressed to Mixed Congregations), Londres,

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