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    2. Portrait de l'artiste en jeune homme
    3. Chapitre 63
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    des Livres, conférence de Valéry Larbaud sur l’œuvre de James Joyce, et lecture de fragments d’Ulysse.

    1922 2 février : Publication d’Ulysse.

    Avril : Contre l’avis de Joyce, Nora part pour l’Irlande avec les deux enfants, mais la guerre civile les force à revenir rapidement à Paris.

    De septembre à novembre, voyage à Londres, puis dans le midi de la France.

    1923 10 mars : Joyce écrit les premières pages de ce qu’il appellera d’abord Work in Progress (fragments dont bon nombre seront publiés dans diverses revues au cours des années 1920 et 1930), puis Finnegans Wake (1939).

    De la mi-juin à la mi-août, séjour en Grande-Bretagne.

    1924 Mars : Auguste Morel se lance dans la traduction d’Ulysse.

    1er avril : Publication d’un premier fragment de Work in Progress dans la Transatlantic Review de Ford Madox Ford.

    Août : Commerce publie des fragments d’Ulysse traduits par Valéry Larbaud et Auguste Morel.

    De juillet à début octobre, séjours en Bretagne, puis à Londres.

    1925 Publication de quatre fragments de Work in Progress.

    1926 Une traduction par Auguste Morel de « Calypso », quatrième épisode d’Ulysse, paraît dans le numéro d’automne de 900 : Cahiers d’Italie et d’Europe.

    1927 L’Anglais Stuart Gilbert est intégré à l’équipe des traducteurs. Valéry Larbaud commence la révision de la traduction Voyage à Londres, puis en Hollande.

    Pour bien montrer que sa nouvelle écriture ne trahit pas un dérangement mental, Joyce publie un recueil de poèmes, Pomes Penyeach [Poèmes d’api].

    Rencontre de Maria et Eugene Jolas, dont la revue transition (sic) commence à publier des fragments de Work in Progress.

    1928 Publication à New York en plaquette du fragment de Work in Progress, Anna Livia Plurabelle (livre I, chap. VIII de Finnegans Wake).

    De juillet à septembre, voyage en Autriche et en Allemagne, suivi d’un séjour au Havre.

    1929 Février : Publication de la traduction française d’Ulysse par Adrienne Monnier à la Maison des Amis des Livres.

    De juillet à septembre, séjour en Grande-Bretagne.

    Publication à Paris en plaquette de deux autres fragments de Work in Progress, sous le titre de Tales Told of Shem and Shaun.

    1930 De mi-avril à mi-juin, séjour à Zurich, après des vacances à Wiesbaden.

    Juillet-août se passent en Grande-Bretagne.

    Publication à Paris et à New York de Haveth Childers Everywhere, fragment de Work in Progress.

    1931 De fin avril à mi-septembre, séjour en Grande-Bretagne, où James et Nora se marient le 4 juillet.

    Premières rencontres avec Louis Gillet, académicien et homme de lettres influent qui, après lavoir critiqué, devint l’un de ses fidèles partisans.

    29 décembre : Mort de John Stanislaus Joyce, père de James.

    1932 15 février : Naissance de Stephen James Joyce, fils de Giorgio Joyce. Le poème « Ecce Puer » commémore à la fois cette naissance et le deuil récent.

    Mars : Lucia commence à souffrir de sérieux troubles nerveux.

    De début juillet à fin septembre, séjour en Suisse.

    1933 De mai à juillet, séjour en Suisse.

    À la fin de l’année, la justice américaine lave Ulysse de l’accusation de pornographie, ce qui va enfin permettre une édition américaine (Random House, 1934), puis anglaise (John Lane, The Bodley Head, 1936) du livre.

    Publication à Londres de The Joyce Book, poèmes de Pomes Penyeach mis en musique par divers compositeurs, et accompagnés de brèves contributions de James Stephens, Padraic Colum et Arthur Symons, ainsi que d’un portrait de James Joyce par Augustus John.

    1934 Les Joyce passent une grande partie de l’année en Suisse. Publication à La Haye de The Mime of Mick, Nick and The Maggies, fragment de Work in Progress.

    1936 Première édition des Collected Poems (The Black Sun Press, New York).

    1937 Publication à Londres de Storiella As She ls Syung, fragment de Work in Progress.

    1939 Mai : Publication à Londres, chez Faber & Faber, de Finnegans Wake, titre final de Work in Progress.

    1940 La plus grande partie de l’année est passée à Saint-Gérand-le-Puy, dans l’Ailier, où Maria Jolas avait replié son École Bilingue, dont Stephen James Joyce était un élève.

    Se souvenant que l’Angleterre l’avait aidé pendant la Grande Guerre, James Joyce refuse d’utiliser le passeport que lui offre l’État Libre d’Irlande. Il doit donc quitter la France pour la Suisse, où il arrive le 17 décembre.

    1941 C’est là qu’il meurt brusquement, d’un ulcère perforé du duodénum, le 13 janvier 1941.

    NOTICE

    Le dossier génétique et critique du Portrait de l’artiste en jeune homme [A Portrait of the Artist as a Young Man] est substantiel et ne saurait être déployé dans les limites d’un seul volume.

    En effet, l’une de ses composantes majeures, Stephen le Héros [Stephen Hero], est longue de plus de deux cents pages. À ce texte, dont l’intérêt, au total, est plus historique et documentaire que proprement littéraire, s’ajoutent plusieurs carnets de travail : les notes conjointes au « Portrait de l’artiste » de 1904, le Carnet de Pola, le Carnet de Trieste.

    Nous avons pris le parti de réunir dans ce volume le premier texte achevé par James Joyce, ce court « Portrait de l’artiste », écrit pour la revue dublinoise Dana et refusé in extremis par elle, et d’autre part le texte définitif publié dix ans plus tard, Portrait de l’artiste en jeune homme.

    Nous réservons pour un second volume Stephen le Héros, qui constitue un état intermédiaire incomplet et inachevé de l’œuvre (dont James Joyce, de son vivant n’avait pas souhaité la publication, il convient de le reconnaître), auquel nous joindrons les documents de travail intermédiaires signalés ci-dessus. En attendant cette prochaine publication, nos renvois à ces textes seront faits sur la pagination de l’édition de la Pléiade.

    BIBLIOGRAPHIE

    L’œuvre

    A Portrait of the Artist as a Young Man a été publié d’abord en livraisons dans la revue anglaise The Egoist entre le 2 février (anniversaire de l’auteur) 1914 et le 1er septembre 1915. La première édition en volume fut réalisée, presque simultanément, en Amérique par l’éditeur Huebsch, de New York, en 1916 (distribution en janvier 1917), et en Angleterre en 1917 (distribution en février 1917) par The Egoist Press, créée pour la circonstance par la revue en question. Il existe une bonne édition critique procurée par Chester G. Anderson (New York, Viking Press, 1964). La même année, James S. Atherton annotait de façon souvent intéressante l’édition publiée à Londres par Heinemann.

    La traduction française est due à Ludmila Savitzki. Publiée aux Éditions de la Sirène en 1924 sous le titre de Dedalus, Portrait de l’artiste jeune par lui-même, elle a été révisée par Jacques Aubert à l’occasion de la publication en 1982 du premier volume des Œuvres de James Joyce dans la Bibliothèque de la Pléiade, où elle a pris le titre de Portrait de l’artiste en jeune homme.

    On trouvera dans le premier volume des Œuvres l’ensemble des textes de James Joyce à l’exception d’Ulysse, de Finnegans Wake et de la correspondance (dont la Pléiade présente toutefois un choix). Ceux-ci sont disponibles dans les éditions suivantes :

    Ulysse, traduction intégrale d’Auguste Morel, revue par Valéry Larbaud, Stuart Gilbert et l’auteur, Gallimard, collection Du Monde Entier, 1937 (édition originale : La Maison des Amis des Livres, 1929).

    Finnegans Wake, traduction de Philippe Lavergne, Gallimard, 1982 (édition originale, Faber & Faber, 1939).

    Lettres, traduites par Marie Tadié, 4 vol., Gallimard, 1961-1986 (Faber & Faber, 1957-1966).

    Lectures complémentaires recommandables :

    Robert Scholes et Richard M. Kain, éd., The Workshop of Daedalus, James Joyce and the Raw Materials for A Portrait of the Artist as a Young Man, Northwestern University Press, 1965.

    Jean-Michel Rabaté, Joyce, Portrait de l’artiste en autre lecteur, Cistre, 1984.

    Jacques Aubert, éd., Joyce avec Lacan, Navarin, 1987.

    Michel Beaujour, Miroirs d’encre, Rhétorique de l’autoportrait, Éditions du Seuil, 1980.

    Pascal Bonafoux, Les Peintres et l’autoportrait, Skira, 1984.

    Peter Costello, James Joyce, The Years of Growth, 1882-1915, Roberts Rinehart Publishers, Cork, 1992.

    Stanislaus Joyce, Le Journal de Dublin, traduit par Marie Tadié, Gallimard, 1967.

    NOTES

    PRÉFACE

    1. Tel est le cas de l’admirable « Giacomo Joyce » (Pléiade, p. 785-800), relation sous forme d’ « épiphanies » d’une aventure toute platonique avec l’une de ses élèves de Trieste.

    2. Voir Willard Potts, Portraits of the Artist in Exile, University of Washington Press, 1979, p. 69-70.

    3. Ces documents seront procurés dans l’édition Folio classique de Stephen le Héros, à paraître.

    4. Voir ch. 3, n. 24.

    5. Voir Pléiade, p. 87-104.

    6. Évangile selon saint Matthieu, V, 17.

    7. Pléiade, p. 511-512.

    8. Ibid.

    9. Ibid.

    10. Voir p. 40.

    11. Voir p. 307.

    12. C’est dans cet esprit, pour mieux faire saisir cette réalité, que nous procurons en note un grand nombre de « sources » de caractère réaliste.

    13. Et, sur un autre plan, du classicisme, dont Joyce se réclame avec force dès ses premiers textes critiques. Et lorsqu’il se lance dans la récriture de Stephen le Héros en 1907, ce disciple d’Aristote, qui a, dit- il, « interprété à l’intention des hellénistes orthodoxes la doctrine vivante de la Poétique », ce sera pour construire délibérément son roman, en cinq chapitres, à l’image de la tragédie classique.

    14. Voir La Perspective comme forme symbolique, Éditions de Minuit, 1975, et en particulier l’essai liminaire de Marisa Dalai Emiliani, « La question de la perspective ».

    15. « Une difficulté de la psychanalyse », in L’Inquiétante étrangeté et autres essais, Gallimard, 1985, p. 181-187.

    16. Dans le monde anglo-saxon, Virginia Woolf l’a fait remarquer, c’est le moment où « human character changed ».

    17. Ulysse, Gallimard, « Du Monde Entier », p. 204. Voir ci-dessous ch. 4, n. 5.

    18. Voir ch. 5, n. 184.

    19. Voir p. 37.

    20. Voir p. 244.

    21. Voir p. 332 et n. 256.

    22. Y Cadoret, Bordeaux, 1902. Segalen y présente une étude des « observations » cliniques de Jules de Goncourt par son frère, de Flaubert, de Huysmans et, en des termes assez critiques, de Zola.

    23. Voir Hubert Damisch, « La danse de Thésée », in Ruptures-Cultures, Éditions de Minuit, 1976.

    24. Ulysse, éd. cit., p. 53.

    25. Il y aurait beaucoup à dire sur les antécédents spinozistes de Joyce.

    26. Voir p. 183.

    27. S’étonnera-t-on qu’il ait baptisé Lucia cette fille surgie dans

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