▶ Lire le livre gratuitement en ligne | Entièrement gratuit | Oui c'est vrai!
  • Home
  • Tous les livres
    • Livres populaires
    • Livres tendance
  • BLOG
Recherche avancée
Sign in Sign up
  • Home
  • Tous les livres
    • Livres populaires
    • Livres tendance
  • BLOG
    Sign in Sign up
    1. Home
    2. Brouillons d'un baiser
    3. Chapitre 7
    Prev
    Next

    livre. Nous ne prétendons offrir au lecteur que des documents, à la fois passionnants d’un point de vue génétique et réjouissants à la lecture, qui apportent cet intérêt supplémentaire d’ouvrir une possible voie d’accès pour qui voudrait commencer à s’aventurer dans l’univers si intimidant de Finnegans Wake.

    DANIEL FERRER

    1. Voir Danis Rose, « A Nice Beginning: On the Ulysses / Finnegans Wake Interface », European Joyce Studies 2, 1990. Cet article a été décisif pour l’établissement de la chronologie des débuts de Finnegans Wake. La présente introduction doit beaucoup aux travaux suivants : David Hayman, A First-Draft Version of “Finnegans Wake”, Austin, University of Texas Press, 1963, et The “Wake” in Transit, Ithaca, Cornell University Press, 1990, qui étudie en profondeur le rôle de Tristan et Iseult dans la genèse de Finnegans Wake ; Danis Rose, « The Beginning of All Thisorder of Work in Progress », James Joyce Quarterly 28.4, été 1990 et The Textual Diaries of James Joyce, Dublin, Lilliput Press, 1995 ; Luca Crispi, Sam Slote et Dirk Van Hulle, « Introduction », dans How Joyce Wrote “Finnegans Wake”: A Chapter-by-Chapter Genetic Guide, Luca Crispi et Sam Slote eds, Madison, University of Wisconsin Press, 2007 ; Jed Deppman, « A Chapter in Composition: Chapter II.4 », dans How Joyce Wrote “Finnegans Wake”, op. cit. ; Vincent Deane, introduction à The “Finnegans Wake” Notebooks at Buffalo. Notebook VI.B.10, Vincent Deane, Daniel Ferrer, Geert Lernout eds, Turnhout, Brepols, 2001, et à The “Finnegans Wake” Notebooks at Buffalo. Notebook VI.B.3, Vincent Deane, Daniel Ferrer, Geert Lernout eds, Turnhout, Brepols, 2001 ; et tous les travaux de Jorn Barger, sur son site « Robotwisdom ».

    2. Voir la première page du carnet catalogué VI.B.10. Dorénavant nos références à ce carnet prendront la forme : VI.B.10, p. 1. On peut trouver la reproduction de cette page dans le tome 31 de la James Joyce Archive (David Hayman ed., New York, Garland Publishing, 1978), p. 81, et dans The “Finnegans Wake” Notebooks at Buffalo. Notebook VI.B.10, op. cit., p. 18.

    3.La Bibliothèque nationale d’Irlande a acquis en mars 2006 six feuillets grand format, jusqu’alors inconnus, appartenant à la préhistoire de Finnegans Wake.

    4.Joyce avait confié la plupart des manuscrits de Finnegans Wake (à l’exception de ses carnets) à Harriet Shaw Weaver, qui en a fait don à la British Library. Ces manuscrits ont été reproduits en fac-similé dans les tomes 44 à 63 des James Joyce Archive (éditeur principal Michael Groden, New York, Garland Publishing, 1977-1979) et les plus importants d’entre eux ont été transcrits par David Hayman dans A First-Draft Version of “Finnegans Wake” (op. cit.).

    5.Conférence reprise dans La Nouvelle Revue française, n° CIII, 1er avril 1922.

    6.Marcel Brion, dans les Nouvelles littéraires du 15 octobre 1927.

    7.Dans le Sporting Times du 1er avril 1922.

    8.D’après la Dublin Review d’octobre 1922.

    9.T. S. Eliot, « Ulysses, Order and Myth », The Dial, LXXV, nov. 1923, pp. 480-483.

    10.Rapporté par Virginia Woolf dans son journal (Journal intégral 1915-1941, Paris, Stock, 2008, p. 461, traduction modifiée).

    11.Journal du 26 sept. 1920 : « J’ai pensé que ce que je suis en train de faire Mr Joyce est probablement en train de le faire mieux. Puis j’en suis venue à me demander ce que c’est au juste que je fais », Journal intégral, op. cit., p. 350, traduction modifiée.

    12.Rapporté par Burton Rascoe, A Bookman’s Daybook, New York, Horace and Liveright, 1929, p. 27.

    13.Richard Ellmann, James Joyce, op. cit., p. 540.

    14.Seize ans plus tôt, avec Gens de Dublin, son ambition se bornait à écrire « un chapitre de l’histoire morale de mon pays » (lettre du 2 mai 1906). Le niveau des enjeux s’est considérablement élevé entre-temps.

    15.Lettre du 30 octobre 1922. James Joyce’s Letters to Sylvia Beach 1921-1940, Melissa Banta et Oscar A. Silverman eds, Plantin Publishers, 1987, p. 15.

    16.Ibid. C’est moi qui traduis.

    17.VI.B.10, p. 42. Peu de temps après, il enfoncera le clou : « Proust le lecteur finit la phrase avant lui », à la page 721 du carnet catalogué VI.A, transcrite dans Scribbledehobble; the ur-workbook for “Finnegans Wake”, Thomas Connolly ed., Evanston, Northwestern University Press, 1961, p. 118. Dorénavant nos références à ce carnet prendront la forme : VI.A, p. 721, mais étant donné la densité de ces pages, nous préciserons également la page de l’édition Connolly, sous la forme : (Scribbledehobble, p. 118).

    18.Richard Ellmann, James Joyce, op. cit., p. 505.

    19.VI.B.10, p. 15. Comme c’est souvent le cas, Joyce se révèle un lecteur peu attentif. Gordon Bottomley n’a jamais écrit de Tristan. Il n’est mentionné par Moore que parce qu’il a réutilisé des personnages de Shakespeare. Et c’est de son cru que Joyce ajoute Debussy à la liste, pensant certainement au Pelléas et Mélisande de Maeterlinck, qui peut être en effet considéré comme une variation sur le thème de Tristan.

    20.Lettres III (trad. Marie Tadié), Paris, NRF, 1981, pp. 187-188.

    21.P. 242 du carnet catalogué VI.B.31, reproduite dans le volume 36 des James Joyce Archive (Danis Rose ed., 1978), p. 295.

    22.On voit de nouveau ici que Joyce lit trop vite. Comme le remarque David Hayman (The “Wake” in Transit, op. cit., p. 58), Joyce semble croire que Iseult de Bretagne et Iseult aux blanches mains sont deux personnes distinctes, alors qu’il s’agit de deux appellations de l’épouse de Tristan. L’Iseult principale, la femme du roi Mark, est bien entendu Iseult d’Irlande, ou Iseult la blonde.

    23.Dans le carnet dit « Subject Notebook », en ligne sur le site de la Bibliothèque nationale d’Irlande.

    24.Il manque des pages à la fin du carnet VI.B.10, qui a été utilisé au moins jusqu’à la fin janvier 1923, et il manque des pages au début du carnet VI.B.3, qui couvre la période qui va de la fin février au mois de juillet 1923. Il n’est pas impossible que Joyce ait utilisé, entre les deux, un autre carnet maintenant perdu (comme le suppose Danis Rose), mais rien ne permet de l’affirmer. Il est tout à fait possible que les pages manquantes à la fin du premier carnet et au début du second aient suffi à ses besoins pour février 1923.

    25.À la première page subsistante du carnet catalogué VI.B.3. Dorénavant, nos références à ce carnet prendront la forme VI.B.3, p. 1. On peut trouver la reproduction de cette page dans le tome 29 de la James Joyce Archive (David Haymaned ed., New York, Garland Publishing, 1978), p. 180, et dans The “Finnegans Wake” Notebooks at Buffalo. Notebook VI.B.3, op. cit., p. 20. On retrouve ce fragment de saynète presque à l’identique, mais avec une inversion des rôles, dans notre texte B. Voir ci-dessous p. 78-79.

    26.VI.B.3, p. 21. Ces mots sont utilisés à l’identique dans la deuxième version du baiser.

    27.The “Finnegans Wake” Notebooks at Buffalo. Notebook VI.B.3, op. cit., p. 32.

    28.Lettres III, op. cit., p. 240.

    29.Peut-être Joyce ne s’était-il pas trompé, après tout, en prenant note du nom de Gordon Bottomley (voir ci-dessus note 1, p. 34). Comme le précise T. Sturge Moore, cet auteur avait écrit des pièces consacrées à la vie antérieure des personnages de Shakespeare, ce qu’on appelle maintenant des prequels. C’est bien ce que va faire Joyce en imaginant l’enfance d’Iseult (et de saint Kevin).

    30.Joyce avait l’habitude de rayer au crayon de couleur les éléments qu’il prélevait. Dans les carnets VI.B.10, VI.B.3 et VI.A, les éléments utilisés pour l’élaboration des premières vignettes sont presque tous barrés avec un crayon marron.

    31.Peut-être pour éviter la répétition, Joyce a raturé l’épisode de la soupe dans son récit de l’enfance d’Iseult, renvoyant entre parenthèses à Kevin. Voir note 37 du texte A, en fin de volume.

    32.VI.B.3, pp. 42-45.

    33.Et pourtant Joyce rejoint là certains aspects de l’entreprise de Mallarmé, rédacteur unique, sous de multiples pseudonymes féminins, de La Dernière Mode.

    34.Les deux premières strophes avaient été publiées dans le numéro X, 2 de la revue Poetry (mai 1917), p. 74.

    35.Pomes Penyeach, 1927. Voir James Joyce, Œuvres I, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », p. 51.

    36.Ce qui n’aurait rien de foncièrement invraisemblable puisqu’on trouve, par exemple, la copie d’un poème de Verlaine au beau milieu d’un brouillon fragmentaire de « Cyclope ». Voir sur ce point la controverse entre David Hayman et Danis Rose. David Hayman (The “Wake” in Transit, op. cit., p. 28) insistait sur les affinités thématiques du passage et du poème tandis que Danis Rose (« The Beginning

    of All Thisorder of Work in Progress », op. cit., p. 962) soulignait l’incongruité de la juxtaposition. Les manuscrits récemment découverts donnent raison à David Hayman : ils montrent non seulement que l’incongruité est précisément ce qui est recherché par ce passage, mais surtout que Joyce essayait, à ce stade, d’introduire ses propres poèmes lyriques à l’intérieur des scènes burlesques qu’il élaborait, puisqu’on en trouve un autre exemple dans le texte C.

    37.Nous sommes amenés du même coup à considérer que le statut énonciatif de ce poème, et de l’ensemble des Poèmes d’api, est nettement plus complexe qu’on ne le pense souvent. Marcel Brion, dans un article contemporain, évoquait déjà une dimension ironique, et déclarait qu’on comprenait mieux ces poèmes quand on les juxtaposait aux fragments de « Work in Progress » qui étaient alors disponibles (Les Nouvelles littéraires du 15 octobre 1927, p. 7).

    38.Voir, en fin de volume, la transcription de cette mise au net dans la note 45 du texte B.

    39.Dans le numéro X, 2 de la revue Poetry (mai 1917), p. 72.

    40.Mais non pas du baiser qui reste omniprésent dans leur discours sous la forme de références à Arrah na Pogue (voir note A

    Prev
    Next
    SHARE THIS MANGA
    Share on Facebook Share
    0
    Share on TwitterTweet
    Share on Pinterest Share
    0
    Share on LinkedIn Share
    Share on Digg Share
    0
    Total Shares

    YOU MAY ALSO LIKE

    Portrait de l’artiste en jeune homme – James Joyce
    Portrait de l’artiste en jeune homme
    August 17, 2020
    Molly Bloom – James Joyce
    Molly Bloom
    August 17, 2020
    Ulysses – James Joyce
    Ulysses
    August 17, 2020
    Gens de Dublin – James Joyce
    Gens de Dublin
    August 17, 2020
    Tags:
    Classique, Fiction, Littérature, Roman
    • Privacy Policy
    • ABOUT US
    • Contact Us
    • Copyright
    • DMCA Notice

    © 2020 Copyright par l'auteur des livres. Tous les droits sont réservés.

    Sign in

    Lost your password?

    ← Back to ▶ Lire le livre gratuitement en ligne | Entièrement gratuit | Oui c'est vrai!

    Sign Up

    Register For This Site.

    Log in | Lost your password?

    ← Back to ▶ Lire le livre gratuitement en ligne | Entièrement gratuit | Oui c'est vrai!

    Lost your password?

    Please enter your username or email address. You will receive a link to create a new password via email.

    ← Back to ▶ Lire le livre gratuitement en ligne | Entièrement gratuit | Oui c'est vrai!